Grâce au parrainage du Mucem, des articles de la rubrique « Culture » sont en lecture libre.
Le Passage, fresque monumentale de fleurs de pissenlits, a été inaugurée le jeudi 12 décembre dans une cité de Marseille. Imaginée par l’artiste Aurélie Masset et réalisée par six jeunes en service civique : un projet d’insertion par l’art.
Sur scène lors de la soirée anniversaire de Marcelle, au piano, deux jeunes Avignonnais avaient enchanté le public. Ils ont fait leurs gammes grâce à « La portée de tous », une association qui donne des cours dans les faubourgs populaires de la Cité des Papes.
[Parrainé] « Le temps libre est-il le temps de notre liberté ? », telle est la question sur laquelle planchent les détenus inscrits au concours « Philosophons en prison ».
[Parrainé] Depuis 2013 et l’Année Capitale (de la culture à Marseille), où en sont les « artistes-marcheurs » du GR 2013 ? Quid du sentier métropolitain de 365km créé ex-nihilo sur un territoire où les pépites naturelles se mêlent aux autoroutes et aux friches industrielles ?
Ancien de l’ERACM, (École régionale d’acteurs de Cannes et Marseille), le metteur en scène Baptiste Amann livre le 3e et dernier tome de sa trilogie « Des territoires ». La chronique d’une fratrie de banlieusards qui vient de perdre ses parents et qui appartient à la génération désenchantée. Ce moment clé ouvre sur de nombreux questionnements : l’héritage, les origines, …
Deux articles pour le même prix. On commence par les expos en cours car un week-end à rallonge se profile. Juste avant la radiographie de la Friche Belle de Mai, une expérimentation urbaine unique qui pourrait être inspirante pour d’autres quartiers défavorisés.
Il a troqué les bombes de peinture contre la lumière des projecteurs. Mais ses affichages sauvages explosent avec la même force pour véhiculer leurs messages militants. Dans les cités de Marseille comme à La Havane.
[Au fait !] Invitée d’honneur de la 9e édition du festival Photo Marseille, Yohanne Lamoulère présente sa nouvelle expo ‘’Manger tes yeux – Ici ment la ville’’.
C’est toujours bizarre d’entrer aux Baumettes. Même dans le bâtiment historique vidé de ses occupants et voué à la destruction. Même pour assister à une représentation de théâtre. Mais voilà, justement, ce n’est pas n’importe quelle pièce, ni n’importe quelle compagnie. Des détenus de la Maison centrale d’Arles y jouent Marius, la pièce de Pagnol. Car la culture aussi sert la réinsertion.
[Parrainé] Non, la Fondation Camargo ne s’occupe pas de préserver la biodiversité en Camargue. Créée à Cassis en 1967 par un Américain, cette résidence soutient la création artistique et scientifique en offrant du temps et de l’espace à quelques dizaines d’heureux élus. Le label « Maison des Illustres » vient de lui être décerné.
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